El Tule by Skim X3M
El Tule, le gonz de Melaque qui met du tartare dans les tacos...Bim!!!
Sam Stinnett UST champion 2011
Sammy Boy a tout arraché cette saison avec son style Bull rider et devance son pote tout aussi frappadingue le Domke. Le cherubin modèle Conklin termine 3eme et fait déjà frémir ses p'tits camarades pour la saison 2012.
Le premier Européen, c'est notre Muchu national 17eme!
Le classement complet ici: 2011 UST Points
Mainland Mexico
Le trip le plus médiatisé de l'année et surement la plus belle vid depuis un bon bout de temps.
Le light jockey, c'est Harrault! Merci Groovy Baby!
Le report et les pics, c'est par ICI
Cartel del Pacifico - Road Trip
Ma bite et mon couteau, je suis prêt pour embarquer avec le peloton Exile.
Un bon trip sur la côte Pacifique commence toujours par un apéro chez Peluso.
Faut dire qu'on est plutôt pas mal à Labina Gouch chez la Peloose!
Un peu comme au BHV, on trouve de tout dans la salle de bain invités. Une vraie pharmacie du Tour de France avec des crèmes anti-couillite, du baume musclor et de l'après-soleil de gonzesse. Que des produits Made In France oubliés par les précédents squatteurs.
En résumé, 3 jours à Laguna, ça donne: session solo Aliso glassy, ripailles, private session à la Wavehouse de SD avec Momo, concert de Nick Hernandez, teuf au Bruxelles Bistrot avec Muchu.
Rendez-vous au LAX avec la colo Exile:
3 Stinnetts, 1 Ken Suzuki, 1 Isaac Zoller, 1 Blair Conklin et 1 Perry Pruit plus tard, le trip prend des allures d'un remake de "Scout toujours" avec Aaron dans le rôle de Jugnot aka "Biquet".
Nous sommes accueillis à Guadalajara, par le très francophile Padre Luis Uribe.
Ambiance convoi Mad Max, Luis et moi ouvrons la route avec ma caisse de loc "Chevrolet mini sex". Luis scrute je ne sais quoi et a à porter de main un flingue dans la boite à gants.
On se la joue Cobra 4 à Zebra 3 avec Biquet qui suit 50m derrière.
Le jefe Peluso est confortablement installé avec les enfants dans le 4x4 Delta Force.
Première spéciale : rallier de nuit Puerto Vallerta par la route nord.
400km de route désertique, montagneuse et sinueuse au cœur des ténèbres.
Les gonzs avaient sacrément bien planqué la lune.
Une fois arrivé à Puerto Vallerta dans la planque du père Luis, en mode totalement lost in translation, je ne sais plus trop comment reconstituer le puzzle du trajet tellement je suis fumé. Avons-nous remonté le Mékong, le Zaïre ? Les images des panneaux de la ville de Tequila se noient dans les gigantesques flammes du couloir de feu de broussailles que nous avons affronté. Il y a eu aussi ce truc bizarre sur le parking d'une station service déserte qui avait l'allure d'un vaisseau spatial, j’ai cru apercevoir des ewoks entassés à l’arrière d’un vieux pick-up.
Le lendemain commence le vrai trip, on catche aux chiottes d'une station service miteuse un dénommé Fido.
Ce mec est un croisement entre Charles Bronson et Fix de BX. Fido a fait la route la veille en stop depuis Melaque pour nous faire découvrir un nouveau spot repéré sur Google Earth. Bon ok, le mec est aussi monté à Puerto Vallerta pour aller au claque à tapins...
On cruise direction le sud sur la « 200 »
Dès lors, la succession de paysages est assez brancos, on passe de la Riviera italienne, aux Alpilles, à la jungle, puis au far West.
Le village d’El Tuito est la dernière étape pour se ravitailler avant de quitter la « 200 » et attaquer les pistes du no man’s land de Cabo Corrientes. Pas de pompe à essence, c’est un mec qui nous ravitaille à coups de jerrycans sortis d’une guitoune de maître forgeron.
En route pour l’Eldorado : paysage aride, buissons, cactus, cow skulls, vautours et pueblito où deux, trois gonzs tout droit sortis d'un Sergio Leone semblent attendre le passage de la diligence pour la dépouiller.
" Et si c'était nous la diligence?"
On s'en branle car Bedex m'a appris un jour au détour d'un quinzième verre de Ricard :
Jack Bedex et sa passion cachée pour les Western...un grand moment de la critique cinématographique.
En bon Yankee, Peloose fait un peu le fanfaron avec son 4x4 de Chivers. Manque de bol, Biquet crèvera 3 fois...
Fido nous dégotte un claque du bout du monde tenu par une saloperie de hippie repris de justice.
Pendant quelques jours nous vivons en autarcie au rythme des sessions, BBQ, tournois de billard et découverte de la faune locale en mode « Man Vs Wild ».
On inaugure le fameux spot de Fido !
Selon un vieux pêcheur au sombrero que nous avons croisé sur un sentier paumé, le merdier est gavé de requins blancs mais ça n'empêche personne d'aller chercher les friandises derrière le comptoir.
Lors de la première session, je vois plus de Wrap In 'n' Out que dans toute ma life…
C’est littéralement l’embouteillage de smiles au line up !
Avec les kids, on est sur la même longueur d’onde, 15 ans d’âge mental pour eux, 12 ans pour moi, bref dès que y a une connerie à faire sans se faire gauler par Aaron…
Sammy devient mon chauffeur attitré, Ken porte mon matos et Blair et Perry m'approvisionnent en crackers et Corona. Grâce à Batardubreak, l'esclavagisme trouve un second souffle en 2011!
Parlons-en des Corona ou plutôt du « miracle mexicain » !
Quelque soit l’endroit, il y a toujours une cabane avec un frigo plein de binouzes fraiches.
Comment fonctionne le frigo ? Mystère ? A croire que les Corona tombent fraîches du ciel !
Une fois les ressources naturelles locales épuisées par notre offensive, nous reprenons la route cap au sud. La première partie du trajet sur la piste nous enfonce encore plus dans les chachis avant de rejoindre la salvatrice « 200 ». Bref la Creuse à coté, c’est Manhattan.
Là, on cruise d’abord à Tenacatita qui est situé à 40km au nord de Melaque.
C’est le bled où se trouve « boca de los muertos ». La nature est tout de suite beaucoup plus verdoyante.
Le chemin vers le spot à travers la cocoteraie et le cimetière est vraiment trippant.
On pourrait se croire au Vietnam, les Viêt-Cong en moins.
A la pointe se trouve le fameux liner et 15 mètres derrière la langue de sable, le marigot à croco.
Forcément avec Luis, on a voulu appâter les reptiles. Alors, on a balancé l’enfant Perry dans la fosse. Les quelques locaux présents nous ont regardé effaré par ce sacrifice. C’est vrai qu’on aurait eu un peu eu l’air con si le gamin s’était fait bouffer. Genre : « allo, bonjour Madame, bah alors votre fiston vous le verrez plus aux soirées, il s’est fait gnaquer par un croco ».
Retour à la civilisation, direction Melaque pour la compète.
Genre de patelin qui ressemble à Ubatuba avec des canadiens en plus.
A Melaque, sur le contest il parait qu’il y a une french connection.
Pour dire la vérité, les français, on ne les repère pas tout de suite car dans le genre timoré et manque de charisme...
Heureusement les frères Thibaud rattrapent la sauce. Muchu fait des étincelles lors du contest et Chaudasse se ballade en K-Way alors qu'il fait 30° à l'ombre.
On finira ce trip à Melaque en mode suicide par la bouffe de tacos et quesadillas.
Back to LAX, sains et saufs ; môman Stinnett nous accueille avec des pains au chocolat !
Match retour avec les mêmes connos en septembre au Grolandes!
Thanks : Aaron Peluso, Exile Skimboards, Luis Uribe, Fido, the Exile kidz, Muchu and Momo.
Credits pics: Batardubreak, Scott Z Stinnett, Isaac Zoller
Batardubreak Pacifik Tour 2010
L’amnésie sera le salut de ce récit…
Le dernier des demeurés a toujours pour habitude de dire « en mai, fais ce qu’il te plait ».
Alors chez BDB, on n’a pas fait les choses à moitié !
Grâce aux placements lucratifs de Jacob chez BP, on s’est dit qu’on allait s’enquiller le PACIFIK Tour.
Un truc à mi chemin entre le Kommandantur Tour et une tournée de Kiss dans le pays Baltes.
Première étape, prévenir les potes du clan des chaussettes noires : la Peloose, le Muchu, Gipsy Prietto, en gros tous les tocards de Solag.
Deuxième étape, réceptionner the Jack Bedex à Paris !
Et là premier drame…tout commence par UN énorme taule en mode « Bedex & the top models ».
Dix heures du mat’ j’ai des frissons
Je claque des dents et Jack montre son fion
Airport pourri, sommeil cassé
L’hôtesse d’Air Tahiti, nous colle une fleur dans la tignasse et nous propose un peu de réconfort.
On lui annonce : « TAULE ! »
Jack B s’enquille un Jack D on da rock.
12h et quelques, de picole plus tard, on fait un peu moins les fanfarons devant l’officier d’immigration.
Coup de chatte, le gonz de la cahute en plexi à la tronche de feu Philippe Léotard.
Direction Laguna.
Jacob se colle des spasmes au volant et manque de nous crasher dans une guitoune du péage de la 73…
Au dessus d’Aliso, il existe une baraque à faire pâlir Eddy Barclay et bien c’est chez Peluso ! Putain on est vernis !
Nous sommes accueillis par Aaron Peluso aka Don Calabrese ou La Peloose, David Levin et Andy Chiavetta.
Jack ne peut s’empêcher de se répandre en salamalecs, « vous êtes trop bon Monseigneur Peluso »
Lors de ces 4 premiers jours à laguna, le plan d’eau est plutôt pourrave…
Fraîcheur plus clapot pas vraiment le super combo mais qu’est ce qu’on se marre !
Tous les soirs, nous ripaillons, nous festoyons avec les copains …ambiance la grande bouffe.
Muchu nous fait découvrir son QG : le Bruxelles Bistrot
On en profite aussi pour faire la tournée des factories Vic et Exile afin de réaliser des compléments d’enquête !
Mais pour évacuer notre skimfrustration, on décide de cruiser avec Momo à la Wavehouse de San Diego.
Grâce à Momo, on est accueilli comme des Princes de Lu.
Grâce à Momo, on ne passe pas par la case training sur le « petit » flowrider.
A cause de Momo, on NOUS jette directos sur Bruticus Maximus.
Bruticus maximus c’est juste l’attraction du coin dans un périmètre de 10 hectares, autant dire que y a du spectateur dans les gradins pour mater vos exploits ou pas (plus live webcam).
Le trio Momo et les boulets déboulent dans le bouzin !
Momo part de la plateforme en backflip, prends ça dans ta gueule !
Une fois sur la vague c’est la grande braderie des tricks…Momo régale, c’est cadeau !
Les spectateurs d’un jour s’attendent à ce que l’on soit de la même trempe.
La vérité, paye ton flegme au bord du pool, ça va être ton tour.
Disons que nous optons pour un style différent…
A la croisée des chemins entre Pierre Richard et les p’tits gars du Téléthon.
36-37 comboReevestricks !
Bref on repart avec quelques bleus et une technique qui s’est finalement affinée au fur et à mesure des runs.
On reviendra copain, c’est promis !
Après avoir testé à peu près tous les restos de Solag et plombé les chiottes de Château Peluso,
on arrache pour CABO SAN LUCAS.
Le genre de nom de patelin qui résonne comme Dien Bien Phu et Kolwezi réunis dans ta caboche.
Au programme ?… les avoir super bien accrochées !
La caravane UST part en ordre dispersé du LAX.
Le klub des loosers (Vic et Exile) opte pour des connec chiatiques à Mex DF …
Avec Titi Jack on est sensé avoir une fast connec à Phoenix, mais notre avion n’arrivera jamais à L.A.
On s’en cogne, on récupère un direct sur AA en mode klub des winners !
Le talent, ça ne s’achète pas, même avec Mastercrade.
A peine étions nous assis dans la carlingue à se demander ce que nous allions picoler pendant les 2 heures de vol, qu’un enfant se pointe pour demander un autographe à Jacob.
Je vous le donne dans le mille : le p’tit bonhomme en Mousse Domke !
L’enfant débarquait juste de Floride.
Jacob lui colle un raffut en lui disant que pour l’autographe il devra se brosser un peu.
Arrivée en terre sainte de Los Cabos, on fait tourner les serviettes !
On se prend un cab avec p’tit bonhomme en mousse, lequel nous dévoile les secrets de Cabo.
Le gamin en connait un sacré rayon dans la luxure…et ça, c’est pas pour nous déplaire !
Toujours grâce aux placements financiers de Jack, on a booké l’hôtel sur le spot.
Faut pas déconner comme même, c’est les vacances !
Le team Exile est dans l’hôtel voisin, Victoria crew en centre ville et tous les autres dans des claques miteux !
La première impression de Cabo était prévisible.
Rien de typiquement mexicain, juste une enclave ricaine dédiée au tourisme de la pêche au gros et de la grosse.
Alors quand c’est comme ça, autant profiter en mode superconnard.
Matin, n°1, ça se passe à Lover’s.
On crapahute dans les rocks, c’est juste merdique comme j’aime !
Arrivés au pic, Bill, Jaime & co font claquer les premières mites.
C’est glassy, turquoise, translucide, pentu, la piste aux étoiles mais en mieux. Tu vois ?
Jack ose tout de même poser la question :
« hum mais dites moi cher Monsieur, c’est ici que ça se passe le tournoi ?»
Une journée type à Cabo ça donne à peu près ça :
-8h00, abre los ojos
-8h01, première Corona et ingestion d’un morceau de cookie qui traine par terre entre la descente de bain et un slibard de Jack.
-8h45, première brique dans la gueule ou plutôt parpaing d’ailleurs
-8h47, j’arrive pas à revenir au bord
-8h48, je suis vraiment réveillé là
-9h00, merde passe moi de la crème solaire je suis entrain de rôtir !
-9h48, un mec du calibre de Momo, Geo, Paulo me calle devant les mirettes une barrique façon Panavision Technicolor.
-9h49, passe moi mes Persol je deviens aveugle
-10h12, je pars comme une mule mais rien ne sert de courir à Cabo
-10h13, j’ai soif
-10h14, crème solaire c’est possible ???
-11h00, ah enfin je me sors ma vague de la journée de ma vie
-11h30, le line up se remplit…Jack en déduit que c’est bien ici le tournoi de rami
-11h32, Muchu sourit face au soleil, je suis éblouit
-12h00, blague de Momo en ricain du niveau de Sim que je ne comprends pas
-13h00, faudrait filmer un peu
-13h30, sieste
-14h15, j’ai chaud et j’ai peut être faim aussi
-Là 2 options…
-Si t’es à Lover’s tu prends le rafiot pour aller bouffer downtown, chez Taco loco,
une adresse bien connue des animaux Grolandais.
-Si t’es à Solmar, tu fais 100m pour te coller le resto étoilé de l’hôtel
-Quoi qu’il en soit tous les chemins de la digestion mènent au bord de la piscine où les cougards rodent…
-Des margueritas nous sont livrées gratuitement!
Jacob avec sa dégaine de Victor Lanoux dans le djebel nous dit que les serveurs sont surement un peu PD…
-15h30, pause hamac
-16h30, je me réveille, les vagues sont aussi alléchantes que ma nouvelle amie Peta Todd
-17h05, faut se motiver à quitter ce putain de hamac et faire les 50mètres qui me sépare de la piste noire
-17h06, je hèle Muchu pour qu’il m’aide à sortir
-17h15, que ce shore-break est beau mais c’est quoi ce putain d’aileron ?
-17h16, fausse alerte juste une raie manta (et pas un requin taureau. Qu'ils peuvent être cons ces parisiens !)
-18h30, repu, dessalage direct dans la piscine, Dos Equis à la main
-18h45, on raconte de la merde aux cougards devant les regards émerveillés de nos amis gringos.
-18h57, Muchu est élu Mister Cabo 2010 à l’unanimité.
Même Peloose et Jack votent pour lui alors que seules les meufs étaient sensées voter…
-19h00, jacuzzi pour tous, Beaker débarque et choppe Jacob par le cou façon Chuck Norris
-19h01, Beaker va-t-il saigner Jack pour avoir shooté toute la journée sa meuf au téléobjectif ?
-19h02, Non, Jacob réplique direct et colle un chat bite à Beaker
-19h03, Bill est interloqué par cette coutume française mais semble apprécier le geste de franche camaraderie comme dirait Guem’s.
-19h35, On est tous totalement ramollis par les 43°c du jacuzzi.
-19h37, Jack perd connaissance
-19h38, le barman lui fait un shot de « tititwister »
-19h38, quinze secondes plus tard, Jacob revient du Connemara
-19h58, on s'arrache à la piaule
-21h00, on passe à la suite Exile prendre 2/3 binouzes.
Perso j'en profite pour raquetter Sammy S car j’ai plus un peso en poche.
J’ai cru que le gamin allait se foutre à chialer et dire à Peloose que je venais de le dépouiller.
Le gamin a rasé les murs tout le reste du séjour quand il me croisait y compris au line up!
-21h20, orgie de tacos downtown
-21h24, Muchu a du cilantro dans les ratiches, Jacob lui 'prête' un cure-dent de chez Flunch Liburnes.
-22h00, débarquement au Squid Roe, Jean Roch n’est pas là pour accueillir Jack.
-22h01, Pour autant la fête n’est pas gâchée et Jaco décrète le début des vacances mais aussi la fin de toute morale et autre sentiment de culpabilité
-23h30, Titi Jack est on fire au milieu d’un cercle improvisé.
On voit de suite que le mec a bien connu les années MIA.
-01h00, début des hostilités
-Le continuum espace temps se dilate…
-Un ange se déhanche sur Heart of glass, c’est tellement beau que Jack a une montée de lait, Muchu reste scotché bouche bée et une larme glisse le long de ma joue. Moment de grâce, émotion collective.
-06h00, c’est où l’hôtel ?
-07h57, c’est quoi ce bordel ?
-8h00, balles neuves !
Après cette semaine de pure vie monastique, retour à Labina Gouch
P’tite fraicheur, p’tite laine mais session bien clean à Aliso, où Jacob me vend du rêve!
Re wavehouse avec Momo et là c'est les barriques pour tous.
Véritable révélation, ce truc est fait pour nous!
Qui dit barrique, dit: ça s’arrose ou taule !
Un séjour que l’on conclut par une soirée d’adieu au Bruxelles bistrot, non sans quelques dernières larmes de rire.
Pas le temps pour la mélancolie on est trop bourré, d’ailleurs comment sommes nous rentrés ???
Trois heures plus tard, le réveil pour aller au Lax est d’une violence ultime.
Mais c’est là que Jacob révéle sa véritable nature de turbo-diesel, car une fois dans l’avion du retour, le mec
demande d’entrée de jeu une Vodka dry. Euh pas moi, pas là.
Morale de l’histoire, Jacob finit toujours par gagner à la fin de l'épisode!
HUGE THANKS: Aaron Peluso, Matthieu Thibaud, David Levin, Paulo Prietto, Morgan Just, Trigg Garner,
Exile skimboards, Victoria skimboards + friends from LB, Mex, Venezuela...
Ça c’est passé à Cabo :
Fashion week :
Toujours accompagné de sa garde robe légendaire, Jacob a passé tout le séjour en alternant entre 3 t-shirts.
2 Skimtour et 1 Puma.
Mec, si tu lis ce message, essaye de lire entre les lignes que tu finis par dauber au bout de 4 nuits en discothèque avec le même tee.
Espadrille touch totale, los Tocardos ont immaculé de leur empreintes tous les dancefloors de la côte pacifique avec les compliments de ces demoiselles !
Les choristes :
Chez Exile, les mecs sont plus portés sur le skim que sur le balmusette ou la chanson paillarde.
Enfin, ça c'était vrai avant de trainer avec nous...
Depuis vous risquez fort de les entendre entonner au line-up: "olléllélél olallalala, la boite à caca" !
Thalassa :
Cabo ça pousse sévère au derche comme nulle part ailleurs!
Quand tu reviens rider à Aliso, t’as l’impression que le break c’est un pédiluve.
Antiboulard system :
Avouons-le, même si on est bien pote avec les ricains, on s’attendait tout de même à une ambiance boulardos sur le contest.
Bah même pas et j’annonce officiellement que le monopole du boulard reste en Europe.
Les portugais devancent toujours d’un poil les français.
Remise du boulard award au prochain Grolandes contest.
Putain la lutte va être super féroce car y a du trouffion au portillon de cette division !
Paralympique :
Quand on ne peut pas tout miser sur ses skimskills faut bien performer ailleurs.
Et ça, Geo l’a bien compris en me choisissant comme partenaire pour le beer-pong contest.
L’improbable duo a atomisé 2 équipes à la suite de soit disant champions floridiens!
Au passage p’tite kasdédi à ma première supportrice : Mme Sears
Ça ne s’est pas passé à Cabo :
La réforme des retraites.
La hausse du tarif du gaz.
Tous les trucs dont on se souvient plus du tout dans le style : Very bad trip
Credits pics: Jack Bedex, Bernardo, Muchu, A Peluso for © BATARDUBREAK